Histoire en balade

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Portrait de Simone Weil

1936 et les grèves de la joie

L’accession au pouvoir du Front Populaire en mai 1936 donne de l’espoir aux ouvriers. Une vague de grèves massives se déclenche après l’élection dans les usines françaises. Ces grèves marquent un tournant dans l’histoire sociale du pays. Ces grèves sont motivées par les conditions de travail extrêmement difficiles et les salaires insuffisants qui ne permettent pas aux ouvriers de subvenir convenablement à leurs besoins.

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Extension maximale de l’Empire Mongol et les capitales successives de l’Empire.

La Pax Mongolica : une première mondialisation 

1241. Vienne. Les troupes mongoles sont aux portes de la ville mais, l’inespéré arrive. Le Khagan (empereur mongol) meurt. Tous ses généraux et les membres de la famille impériale sont rappelés en Mongolie pour procéder au qururltaï (élection) du nouvel empereur. La vague monstrueuse qui venait de déferler sur l’Europe de l’Est, ayant conquis par le fer et le sang la Pologne, la Russie, les Balkans et la Hongrie, se retire comme une marée. Cette Europe désunie et prompte aux luttes internes, fait face, pour la première fois depuis Attila, à une menace existentielle.

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François Gérard, Psychée recevant le baiser de l’Amour, 1798.

François Gérard et la peinture néo-classique

La peinture de François Gérard (1770-1837) s’inscrit parfaitement dans le courant néo-classique. Élève de Jacques-Louis David (1748-1825), il est l’une des figures de la peinture académique. Il est surnommé “le peintre des rois, le roi des peintres” car il est le portraitiste de toutes les familles souveraines d’Europe. Son académisme s’illustre par cette toile, Psyché et l’amour (huile sur toile, musée du Louvre, 186 x 132). Elle est exposée au Salon de 1798 et répond à tous les critères de la peinture académique de son temps.

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